PUBLICATION DU COMMUNIQUE DE PRESSE DU 25 NOVEMBRE 2012

Suite à l'envoi du communiqué de presse aux DNA, voici ce qu'il en ressort. Un peu déçu que tout le communiqué n'ai pas été repris mais au moins les DNA reparlent du PS de Saverne. Cela n'a pas été le cas depuis longtemps. On va tout faire pour que la section retrouve sa place dans le jeu politique local !

Voici des extraits de communiqués rédigés par des acteurs politiques locaux extérieurs 

à l’UMP, au sujet de la guerre des chefs nationale au sein du parti de droite.

CÉDRIC MARCHAL, MILITANT PS d’Ernolsheim-lès-Saverne, évoque « l’UMP au bord du gouffre suite à une élection censée être démocratique » avant de rappeler qu’« en 2011 le Parti Socialiste a organisé une véritable leçon démocratique en organisant ce qui n’avait jamais été fait en France, des primaires ouvertes avec six candidats », dont il souligne le caractère « exemplaire » : « Aucune contestation, aucune fraude et surtout une unité sans faille ». Et de fustiger « cette droite, encore au pouvoir il y a seulement mois et donnant des leçons de démocratie depuis des années, qui n’est pas capable d’être démocratique même en interne ».

LAURENT BURCKEL, CONSEILLER RÉGIONAL NC-UDI. Selon lui, « personne ne peut se réjouir de ce qui se passe actuellement au sein de l’UMP, car c’est malheureusement toute la classe politique qui est mise à mal ». Il indique que « le Nouveau Centre et l’UDI ont clairement affiché leur volonté de travailler avec l’UMP », rappelant que « seule la logique d’union dans le cadre de la majorité alsacienne a permis de conserver l’Alsace à droite et au centre-droit ». Il relève que « derrière le duel des personnes se cache un duel entre deux philosophies politiques différentes » et que « la droitisation de certains discours entraîne une forme de déchirure interne à l’UMP et une divergence de fond avec les centristes ».

LAURENT GNAEDIG, REPRÉSENTANT DU FN dans la circonscription de Saverne, dénonce « l’impression générale de laxisme et d’incompétence de la part d’un parti qui gouverne depuis des décennies ». Il relève une « fracture idéologique à droite », notamment entre « l’électorat qui souhaite majoritairement une alliance avec nous et la tête du parti ». Fustigeant le « gaucho-centrisme de type UDI », il « appelle les électeurs à ne plus osciller entre le FN et l’UMP qui est politiquement instable et idéologiquement inidentifiable ».